Très discret le capitaine depuis un mois à Mayotte, après son arrivée à à Dzaoudzi ,
où
il lui a été impossible de trouver un radeau de survie pour remplacer
celui qui
lui a été volé au Mozambique ;
Mayotte département français, où l’on
trouve la baguette, le saucisson et le fromage …
Mais pour le matériel nautique...C’est plus dur !
Mais pour le matériel nautique...C’est plus dur !
Mayotte, où les Comoriens des 3 îles voisines,
pensent que le paradis est à portée de main,
pensent que le paradis est à portée de main,
et tentent eux aussi l’aventure de
l’immigration …
Qui ne se termine pas
toujours dans les meilleures conditions,
les événements des derniers mois, semaines, jours, s’en font l’écho.
les événements des derniers mois, semaines, jours, s’en font l’écho.
Et ce n’est sûrement pas fini !
Si vous avez un peu de temps, cliquez sur ce lien, le reportage d’Envoyé Spécial,
édifiant, vous en apprendra un peu plus.
Le capitaine a donc commandé sa petite liste de matériel en
métropole,
et, en attendant d’être livré par la poste,
fait le tour de l’île par
petites étapes, en commençant par l'Est.
faisant çà et là quelques rencontres.
Côte est :
le Sud :
Fait pas beau !
Beau temps revenu !
On passe de l'autre côté : sud-ouest
Mboueanasta
Mouillage dans les vagues
La plage de N’Gouja
Si nager avec les tortues et s’allonger sur le sable clair, sous les baobabs,
c'est déjà très agréable, ce ne sont pas les seuls plaisirs
de cet endroit agréable, situé à l’extrême sud-ouest de « l’île au lagon » :
la plage étale son sable clair le long d’une grande anse très légèrement incurvée,
située sur la commune de Kani-Kéli : il y a aussi un éco-lodge,
pour les touristes desireux de profiter des fonds sous-marins ou de la plage .
pour les touristes desireux de profiter des fonds sous-marins ou de la plage .
Quelques baobabs, sur le sable, émergeant
de la végétation tropicale qui borde cette plage.
Récif
îlots Choisils: plus au nord.
Ma plage privée! Le désert.
Par contre pour boire une
bière il faut se l'amener.
L'île du fond Mtsamboro
sert de débarcadère à clandestins.
Ils ont payé pour venir des Comores
et
doivent payer à nouveau pour se faire transporter
vers la Grande Île.
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