Après la visite de Cousin, ce même après midi sous génois,
petit vent arrière d’environ
10 nœuds, départ pour l’Anse Lazio à 2 ou 3 milles de là.
Cataloguée « une des plus belles plages au monde ».
Nous y retrouvons bien sûr, la plupart des voiliers
et catas qui étaient à Cousin …
et catas qui étaient à Cousin …
Ce n’est pas encore la surpopulation, mais ce n’est
plus la solitude !
Bain dans une eau transparente, devant une « plagette » intime de cette anse, entourée d’amoncellements
de beaux rochers beige rosé.
plus la solitude !
Bain dans une eau transparente, devant une « plagette » intime de cette anse, entourée d’amoncellements
de beaux rochers beige rosé.
C’est d’ailleurs au cours d’une promenade matinale sur cette
plage, que nous avons tiré
quelques unes de ces cartes postales, avant l’arrivée des touristes.
Ça se passe de commentaires …
quelques unes de ces cartes postales, avant l’arrivée des touristes.
Ça se passe de commentaires …
Ile Curieuse,
Elle est distante d’à peine 2 milles de l’anse Lazio. Jany y
avait déjà fait une incursion avec Quentin.
Cette île abritait du temps de l’esclavage, une léproserie,
dont il ne reste qu’un mur, et l’ancienne maison du médecin, style colonial,
qui a été restaurée et devenue un petit musée.
A Curieuse, on accoste tout en douceur, sur sa longue plage
de sable fin, contrairement à beaucoup d’endroits, et c’est bien agréable.
La ballade pédestre de quelques 3 kilomètres a/r,
agréable à l’ombre, mais nous faisant transpirer pour les parties sous le
cagnard, nous amène dans la baie voisine,
là aussi sanctuaire des tortues terrestres, où deux d’entre elles, sans pudeur aucune, sont en train de faire un radada, pour le grand plaisir des photographes et autres…
là aussi sanctuaire des tortues terrestres, où deux d’entre elles, sans pudeur aucune, sont en train de faire un radada, pour le grand plaisir des photographes et autres…
Les deux
carapaces se cognant font un bruit sourd, et après l’acte, tandis que la
femelle
très digne s’en va, de son pas nonchalant (!), le mâle
(exténué !!!) reste sur place
pendant plus d’une heure, à se
remettre…
de l’espèce, mais pour le
commerce des tortues (principalement les carapaces). Là elles ont développé
toutes sortes de maladie, et cet élevage a été abandonné en 1914 ; jusqu’à
2004, la digue existait toujours, elle servait au débarquement des touristes.
Elle a été détruite en grande partie par le
tsunami cette année là.
Un petit « foudi de Madagascar » nous fait le plaisir de poser …
Trop beau, d’un rouge
vif, il volette de branches en branches, mais s’arrête le temps de la
pose !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentez, il en restera toujours quelque chose !