Après une nave matinale de 2 heures environ, vent assez
fort,
un près serré pas trop à mon goût, nous mouillons devant le petit port de
la Digue,
mouillage assez remuant : le bateau gîte au gré des vagues,
Jany installe une
2ème ancre pour que Filopré soit un peu moins agité …
La population de La Digue compte environ 2500 habitants, et
La population de La Digue compte environ 2500 habitants, et
ses installations portuaires sont encore
modestes.
Les voiliers et catas peuvent y rentrer, en nombre restreint, il faut
y jeter l’ancre, et s’amarrer « cocotier », en
portant un ou deux bouts à terre.
Le port de La Digue
Le port de La Digue
Avec le ballet des ferries transportant les touristes,
les bateaux ravitaillant l’île, et les bateaux locaux,
cela fait beaucoup de monde !
cela fait beaucoup de monde !
Donc, dans ce petit port, le monde de la mer se
retrouve côte à côte :
pour ceux qui aiment prendre leur douche en plein
air, ce n’est pas très intime …
Nous débarquons dans l’après midi, pour un petit tour d horizon:
c’est là que nous nous rendons compte
que nous sommes
la semaine du 15 août,
et qu’ici comme partout, c’est la semaine la plus
chargée !
Nous n’avions pas eu ce ressenti jusqu’à présent,
mais La Digue
est une toute petite île, et de ce fait,
le seul village La Passe, concentre la
grande majorité des estivants,
sans compter ceux qui sont ici pour la journée.
une maison ancienne a La Digue
Créole : A lire a haute voix !
une maison ancienne a La Digue
Créole : A lire a haute voix !
Heureusement, c'est également une île où l’on ne se déplace
quasiment …
qu’à bicyclette, de ce fait, même avec beaucoup de monde,
tout est
décontracté, et le rythme de la vie s’en ressent.
Il nous faut nous lever de bonne heure, jeudi 13 août,
pour en louer deux, avant que les touristes n’aient débarqué,
et n’aient tout raflé !
Pour les loueurs de vélo, c’est la bonne période, assurément.
pour en louer deux, avant que les touristes n’aient débarqué,
et n’aient tout raflé !
Pour les loueurs de vélo, c’est la bonne période, assurément.
Il parait que le « char à bœufs » est aussi un
moyen de transport usité,
mais jusqu’à présent, nous n avons vu que deux ou trois beaux attelages,
à se demander si cela ne commence pas à faire partie du folklore,
un peu dépassé :
les touristes sont principalement attendus au port,
par des voiturettes électriques,
ou quelques camions « customisés »
avec banquettes ombragées le long du plateau arrière,
ou quelques taxis 4x4 rutilants.
mais jusqu’à présent, nous n avons vu que deux ou trois beaux attelages,
à se demander si cela ne commence pas à faire partie du folklore,
un peu dépassé :
les touristes sont principalement attendus au port,
par des voiturettes électriques,
ou quelques camions « customisés »
avec banquettes ombragées le long du plateau arrière,
ou quelques taxis 4x4 rutilants.
Ceci dit, passé le village, on est super tranquilles en
vélo !
Une première journée « sportive », où nous nous
sommes rendus
sur la côte au vent, avec quelques montées et quelques descentes,
heureusement en majorité du temps, à l’ombre.
Ce qui m’a consolé, c’est que je n’étais pas la seule,
à mettre pied à terre pour monter les côtes …
sur la côte au vent, avec quelques montées et quelques descentes,
heureusement en majorité du temps, à l’ombre.
Ce qui m’a consolé, c’est que je n’étais pas la seule,
à mettre pied à terre pour monter les côtes …
L’Anse d’Argent,
est un site grandiose, sauvage,
entre ses amoncellements de rochers, et ses
rouleaux furieux,
qui se brisent avec fracas, sur la plage.
Pas conseillé de se
baigner, sur cette partie de côte,
où les courants sont particulièrement
violents !
C’est un site qui ne donne pas particulièrement
envie de faire
des galipettes dans les vagues !
Après une bonne heure passée là, suffisamment tôt, pour être
tranquilles,
nous enfourchons de nouveau nos vélos, pour découvrir d’autres
facettes de La Digue.
Commencé à 9 heures, notre périple s’achèvera à 16h,
après
avoir sillonné l’île du sud au nord, et tout le long de la côte est,
jusqu’à la
fin de la piste bétonnée.
Où que l’on pose les yeux, il est rare de ne pas voir
de magnifiques paysages,
avec à quelques milles, les autres
îles : cette promenade a été un régal !
De plus, la majorité des touristes se contentent de rester non loin du village principal,
et ceux qui poussent plus loin, ne sont pas gênés par la foule !
De plus, la majorité des touristes se contentent de rester non loin du village principal,
et ceux qui poussent plus loin, ne sont pas gênés par la foule !
Bien sûr, nous avons fait plusieurs haltes :
Anse Patates, où
les jeunes attendent « la bonne vague » pour pouvoir surfer,
(clin d œil à Ghislaine, quelques photos en souvenir de son séjour ici),
(clin d œil à Ghislaine, quelques photos en souvenir de son séjour ici),
Il faut dire, qu’avoir vu le « sandwich » de chez Jules,
affiché à 175 roupies (environ 12,50€),
affiché à 175 roupies (environ 12,50€),
m’a un peu fait tiquer au début, mais bon…
Nous n avions pas
emmené le pique-nique, et nous avions faim après tout ce sport!
Nous avons donc attendu le sandwich,
d’abord surpris,
qu’on nous apporte des couverts, pour le manger, et puis…
Quand « le
sandwich » de Jules a été servi, nous n’avons plus rien dit,
nous contentant de le
déguster, et d’apprécier !
Un délice, avec tous ces fruits locaux dans
l’assiette,
(papaye, mangue, carambole, fruit de la passion, banane …)
On en a eu pour
notre argent !
Après ce petit repas frugal,
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