Spice farms :
Les fermes où sont cultivées les fameuses épices de Zanzibar,
vers le centre de l'île un peu en altitude.
Nous nous y rendons en Vespa, mais le temps est incertain, et nous ne coupons
pas à quelques grains, durant le trajet , et pendant la visite .
Deviendrions nous un peu blasés ?
Nous avons été un peu déçus par cette ferme, il faut dire que depuis le temps
que nous "traînons nos guêtres" un peu partout, nous connaissons
déjà la plupart des plantes que le guide nous a présentées,
Et nous les avons parfois découvertes dans un plus bel environnement...
Le "clou" de la visite, le giroflier , enfin nous le découvrons,
mais ce n'est pas la saison de la récolte,
et le "clou" n'est pas à maturité.
Les guides sont compétents, mais nous en savons presque autant qu'eux
sur certaines variétés de plantes (hormis le giroflier).
La noix de Muscade
Ils nous offrent des accessoires fabriqués de leur main, lors de notre visite.
Bracelet-bague et sa fleur d'hibiscus
Remarquez la belle cravate du capitaine ! Lui qui n'en porte jamais !
La pluie nous fait écourter cette visite, et nous retournons au bord de la mer.
La côte, quelques kilomètres au nord de Stonetown
Le lendemain, nous filons en scooter, de l’autre côté de Zanzibar.
L’île en elle-même est assez
plate, sauf quelques vallonnements, aux endroits
où sont établies les « Spice Farms », et vers le nord.
où sont établies les « Spice Farms », et vers le nord.
Les
paysages à l’intérieur de Pemba étaient variés.
Ici longues routes droites, toutefois agréables sous les arcades d’énormes manguiers
qui nous protègent du soleil ardent,
et qui n’ont rien à envier à nos arcades de platanes.
Ici longues routes droites, toutefois agréables sous les arcades d’énormes manguiers
qui nous protègent du soleil ardent,
et qui n’ont rien à envier à nos arcades de platanes.
Un
lagon sur toute la longueur de la côte Est protège l’île .
Dans plusieurs
villages de cette côte, les femmes possèdent
des « jardins » marins, dans lesquels elles travaillent à cultiver des algues,
à marée basse.
des « jardins » marins, dans lesquels elles travaillent à cultiver des algues,
à marée basse.
Ces algues sont destinées à l’exportation,
et notamment au Japon,
pour la fabrication des produits cosmétiques.
(Jany
avait déjà vu la pratique de cette culture dans de petites îles indonésiennes).
Retour du "jardinage"
Sur
cette côte, le lagon est vraiment d’un bleu magnifique,
et les plages
sablonneuses sont tellement blanches, qu’à midi,
il vaut mieux se protéger les
yeux,
tellement la lumière est intense sur la plage.
Des poulpes très attendris
Filaos,
cocotiers, protègent un peu du soleil cuisant.
Malheureusement,
à marée basse, la mer est tellement loin,
qu’il est impossible de se
baigner : les trois quarts des hôtels ou maisons d’hôtes,
se sont donc
dotés de piscines, pour le plus grand plaisir de leur clientèle.
Beaucoup
d’entre eux sont établis au cœur des villages,
mais pour ce qui
concerne notre balade sur cette côte,
depuis les routes principales qui la longent,
on ne voit pratiquement jamais la mer, ce qui est dommage,
quand on parcourt à
scooter plus de 50 kms dans ce but !
On
a la vue principale sur les entrées de parcs des hôtels,
les villages côtiers,
et la végétation.
Alors,
il faut se détourner vers la mer, faire halte,
et trouver un endroit agréable
pour profiter du paysage !
Ici à Pingwe, déjeuner à la « Boutique Hôtel
Matlai ».
Bonne adresse ! Nous étions les seuls clients !
(En
ce moment, basse saison, pas mal d’établissements sont fermés.
C’est vrai que
hormis à Stonetown où on en croise quelques-uns,
les touristes ne sont pas
légion. Pas croisé un seul Français, à ce jour !)
A
quelques centaines de mètres de l'endroit où nous déjeunons,
l’îlot où se situe Rock
Restaurant :
(petit coucou à nos jeunes neveux de voyageurs,
Nico et
Yanisse, qui y ont fait une halte, il y a trois ans…)
Halte
également à Matemwe, le lendemain, plus nord-est,
non loin de l’île de Mnemba,
où les fonds sous-marins sont parait-il superbes.
La
côte Est , c’est la carte postale de Zanzibar !
Dommage,
les deux derniers jours ont été très pluvieux, venteux,
et n’incitaient pas au
tourisme…
De plus, dans ces conditions, il est difficile de laisser Filopré
sans surveillance !
La
fin du séjour n’est pas loin : Je prends l’avion demain,
et Jany espère un
créneau un peu favorable, pour la suite de sa nave...
j’espère que vous avez mangé une assiette de poulpe .trop bon ça .
RépondreSupprimer"les deux derniers jours ont pas été très pluvieux, venteux,
RépondreSupprimeret n’incitaient pas au tourisme"! Parce que le tourisme c'est mieux avec de la pluie et du gros vent? Drôle de goûts! ;-)
J espère que tu avais traduis que ma phrase était incorrecte : les 2 derniers jours avaient été pluvieux et venteux ...
RépondreSupprimerJ'avais bien compris ma chérie, c'était juste un clin d'oeil voyons!
RépondreSupprimerNotre skipper préféré prend le cap 120 pour 470 nautiques environ? (Destination Moroni?)
Un p'tit coup d'fil quand t'es dans notre douce (?) France?